L’inquiétude des Fonctionnaires dévoilée à travers un sondage récent
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Une vague d’inquiétude envahit l’esprit des fonctionnaires lorsqu’ils pensent à leur retraite. Ils vivent dans l’incertitude parce qu’ils ne connaissent pas le montant exact de leur future pension de retraite.
TNS Sofres a réalisé une enquête pour le compte de l’association Préfon et a publié les résultats : 61 % des fonctionnaires sont préoccupés en pensant à leur retraite. Pour 44 % d’entre eux, cette inquiétude découlerait de la méconnaissance du montant de leur future pension.
L’épargne retraite : une solution pour 80 % des fonctionnaires
Face à cette incertitude, 80 % des fonctionnaires interrogés pensent qu’ils doivent disposer d’une épargne retraite pour faire face à toute éventualité et ils estiment qu’il s’agit d’une priorité. 9 % des personnes sondées seulement ne projettent pas d’ouvrir un compte épargne pour préparer leur retraite.
Il existe une multitude de contrats d’épargne retraite sur le marché et les taux rémunération sont différents d’un établissement à l’autre. Ainsi, il est recommandé de comparer les offres afin de trouver la plus adaptée à son profil et à ses besoins.
Des investissements pour mieux préparer leur retraite
En ce qui concerne les investissements déjà réalisés, 46 % des fonctionnaires ont acquis des biens immobiliers pour préparer leur retraite. En effet, lorsqu’un retraité dispose d’une résidence principale, ses charges s’allègent (en cas de location, le loyer représente une part de dépense importante). Cette forme d’investissement est très recommandée parce qu’elle contribue grandement à améliorer le pouvoir d’achat à la retraite.
43 % des fonctionnaires ont opté pour différents placements financiers : la complémentaire retraite, choisie par 21 % d’entre eux, est aujourd’hui le type de placement le plus plébiscité.
Avec le Préfon, les fonctionnaires peuvent se constituer une retraite complémentaire facultative pour préparer leurs vieux jours. Malheureusement, le faible taux de revalorisation des rentes versées (0,33 % au 1er janvier 2014) pourrait décourager les agents de la fonction publique.