Élections présidentielles : comment améliorer le système de santé
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En pleine campagne présidentielle, les différents candidats rivalisent d’idées pour séduire les électeurs et se mettent à faire différentes promesses. Récemment, ils ont fait part de leurs intentions concernant le domaine de la santé. Ils se rejoignent sur un même constat : il faut étoffer l’effectif des personnels soignants.
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Des recrutements en masse
Les 12 candidats qui convoitent la fonction suprême sont au moins d’accord sur deux points en ce qui concerne le domaine de la santé :
- les établissements manquent de personnel ;
- les déserts médicaux restent un problème à résoudre d’urgence.
Pour le président sortant Emmanuel Macron, une attention particulière est portée aux personnes âgées, avec entre autres, le lancement du dispositif MaPrimAdapt.
Cette prime vise à financer les travaux nécessaires pour adapter les logements aux occupants d’un âge avancé. L’actuel pensionnaire de l’Élysée parle d’un recrutement de 50 000 infirmiers et aides-soignants.
Son adversaire issu du parti LFI, Jean-Luc Mélenchon, se montre beaucoup plus ambitieux et parle de la création de 210 000 nouveaux postes, rien qu’en Ehpad. Pour lutter contre les déserts médicaux, il préconise la création d’un réseau de centres de santé publique.
Valérie Pécresse, de son côté, reste plus mesurée en termes de recrutement et ne souhaite voir que 25 000 nouvelles têtes dans les centres de soins sur le prochain quinquennat.
Quant à Éric Zemmour (Reconquête), il pense que le plus urgent reste l’élargissement du numerus clausus et qu’en termes de recrutement, l’embauche de 1 000 nouveaux médecins devrait suffire dans un premier temps.
La position du polémiste n’est pas vraiment partagée par Jean Lassalle puisque ce dernier évoque l’enrôlement d’au moins 100 000 infirmiers et aides-soignants durant son mandat s’il venait à être élu.
L’aide active à mourir divise
Outre les problèmes de manque d’effectif et de déserts médicaux, certains prétendants se sont exprimés sur le sujet de l’accompagnement en fin de vie ainsi que de l’aide active à mourir.
Concernant ce dernier point, Anne Hidalgo en a fait son cheval de bataille alors que Zemmour ou encore Emmanuel Macron y sont toujours farouchement opposés.
D’autres candidats tels que Jean Lassalle (Résistons !), Philippe Poutou (NPA) ou Nathalie Artaud ne se sont pas prononcés sur le sujet, préférant mettre l’accent sur la gratuité des soins ou le remboursement à 100 % des soins et les médicaments.
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