Novembre 2022
Augmentation des pensions retraite en début d'année
- Le
- Écrit par Stephane Duvignol
La réforme des retraites, si chère à Emmanuel Macron, se trouve à une étape cruciale : il ne faudra plus attendre très longtemps avant de savoir si ce projet très contesté se concrétisera finalement ou pas. Mais indépendamment de la réforme, et sur fond de forte inflation, une revalorisation de +0,8% des pensions de retraite a été décidée et mise en place en ce début d'année 2023 pour certaines caisses de retraite.
Des hausses, oui, mais dans quelles proportions ?
Malgré la détermination du président de la République et celle du gouvernement, l’avenir de la réforme des retraites reste incertain. Cette incertitude amène les retraités (et ceux qui vont l’être prochainement) à se demander avec quels revenus ils vont vivre. Au vu du contexte économique actuel, l’inquiétude grandit chez les séniors.
Dans l’hypothèse où la réforme est finalement adoptée, l’exécutif a promis que les retraités toucheraient une pension minimale de 1 200 euros nets par mois (85 % du SMIC). Mais là encore, certaines zones d’ombre persistent, notamment en ce qui concerne les véritables bénéficiaires.
En attendant, il a été décidé qu’une revalorisation des pensions de base du régime général de retraite sera opéré en ce début d’année, indépendamment de l’issue de la réforme. Cette revalorisation a été de +0,8 % pour les retraités affiliés aux caisses de retraite :
- CNAV (Caisse nationale d'assurance vieillesse)
- CNRACL (Caisse nationale des agents des collectivités locales)
- SRE (Service des retraites de l'Etat)
- CNAVPL (Caisse nationale d'assurance vieillesse des professions libérales)
- IRCANTEC (Complementaire des contractuels publics)
- Régimes spéciaux (SNCF, EDF...)
- Indépendants (SSI)
À titre d’exemple, le retraité qui perçoit 2 500 euros verra sa pension augmenter de 20 euros. Pour une retraite de 800 euros l'augmentation sera de 6,40 euros supplémentaires chaque mois.
Quid de la pension minimum si la réforme passait ?
La réforme prévoit également la mise en place d’une pension minimale de 1 200 euros nets par mois. Mais outre l’adoption ou non de ladite réforme, la principale interrogation concerne les réels bénéficiaires de ce dispositif.
À ce sujet, il existe une légère discordance entre le discours du président de la République et celui de la première ministre. Le premier avait annoncé que tous les retraités, anciens et nouveaux, seraient concernés, tandis que la seconde affirmait que la revalorisation ne profiterait qu’à ceux qui partiraient à la retraite à la date du 1er septembre 2023 ou après.
Autre condition obligatoire pour bénéficier de la pension minimum, le futur retraité doit justifier d’une carrière complète et, pour cela, valider 172 trimestres.
Principales mesures de la réforme des retraites
- Comprendre la réforme
- Réforme des retraites : Tout ce qui change au 1ᵉʳ septembre 2023
- Analyse d'un cas avant et après la réforme
- Contenu du texte définitif applicable au 1ᵉʳ septembre 2023
- Calcul de l'âge de départ
- Déterminer et comprendre l'âge de départ à la retraite
- Majoration de 5 % dès le premier enfant : Explication sur ce projet de la réforme
- Rachat de trimestres et reforme des retraites. Quel intérêt ?
- La pension de réversion dans la réforme des retraites
- Cumul emploi retraite : Explications
- Cumul emploi retraite : Ce qui change avec la réforme des retraites
- Retraite progressive : Explications
- Retraite progressive : Ce qui change avec la réforme des retraites
- La fin des régimes spéciaux
Âge de départ à la retraite avec la Réforme
Spécificités de la réforme
Hausse du salaire minimal pour valider un trimestre de retraite en 2023
- Le
- Écrit par Stephane Duvignol
Depuis le 1er janvier, le SMIC brut est fixé à 11,27 euros par heure. Cette hausse implique une augmentation du montant minimal pour valider un trimestre de retraite.
Étant donné que le salaire soumis à cotisation doit représenter 150 fois le montant du SMIC, il faut toucher 1 690,50 euros de rémunération brute pour pouvoir valider un trimestre de retraite en 2023.
Validation de 4 trimestres pour les travailleurs à temps partiel et les indépendants
Avec la hausse du salaire minimal nécessaire à la validation d’un trimestre, les travailleurs à temps partiel pourront valider 4 trimestres cette année du moment qu’ils perçoivent 6 762 euros de rémunérations brutes cotisées, soit 420 euros de plus qu’en 2022.
Pour les travailleurs indépendants, une cotisation minimale d’assurance vieillesse de base a été fixée en vue de garantir la validation de 3 trimestres de retraite par année, quel que soit le revenu. Celle-ci se calcule chaque année sur une base de 11,5 % du PASS.
De leur côté, les micro-entrepreneurs devront réaliser un chiffre d’affaires net minimal pour pouvoir valider un trimestre. Le seuil minimal de revenu imposable diffère d’une branche d’activité à l’autre.
En cas de faibles revenus ou déficitaires, l’entrepreneur peut demander le paiement de la cotisation minimale d’assurance vieillesse auprès de l’Urssaf. À noter toutefois que celle-ci ne s’applique pas aux bénéficiaires du RSA et de la prime d’activité.
Ceux qui sont au chômage pourront valider 4 trimestres assimilés s’ils perçoivent l’ARE pendant 200 jours consécutifs, ou non.
Quel est l’impact de cette hausse sur les salariés ?
En principe, la hausse de la rémunération minimale pour valider un trimestre n’a aucune répercussion pour les actifs qui perçoivent un salaire équivalent au SMIC.
Par ailleurs, pour ceux qui travaillent à temps partiel et qui gagnent un salaire un peu supérieur au SMIC, ce sera plus difficile de valider 4 trimestres cette année. Il en est de même pour les jeunes qui font des jobs saisonniers ou des jobs étudiants.
Principales mesures de la réforme des retraites
- Comprendre la réforme
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- Cumul emploi retraite : Ce qui change avec la réforme des retraites
- Retraite progressive : Explications
- Retraite progressive : Ce qui change avec la réforme des retraites
- La fin des régimes spéciaux
Âge de départ à la retraite avec la Réforme
Spécificités de la réforme
Hausse des tarifs des mutuelles en 2023
- Le
- Écrit par Stephane Duvignol
Selon l’annonce de la Mutualité française, les tarifs des contrats de mutuelle individuelle progresseront de +4,1 % cette année. Ceux de la mutuelle d’entreprise devraient grimper de +5,7 %. En moyenne, les cotisations augmenteront de +4,7 %.
Cette hausse des tarifs en 2023 concerne en particulier les personnes présentant le plus de risques de santé (les séniors).
Une augmentation qui varie en fonction de l’âge
L’augmentation sera en fonction de l’âge de l’assuré. Ainsi, le sénior verra ses cotisations progresser sensiblement par rapport aux personnes qui présentent moins de risque de santé. En revanche, 2,2 millions d’assurés ne seront pas concernés par cette hausse des tarifs.
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D’après les explications de la Mutualité française, les cotisations ne permettaient plus de couvrir l’ensemble des prestations. En effet, les mutuelles ont dû faire face à une forte hausse des remboursements des soins en 2021 et 2022 : multiplication des dépenses de santé liée au vieillissement de la population et à l’amélioration des soins. D’autre part, le dispositif 100 % santé a fait exploser leurs dépenses (+900 millions d’euros au premier trimestre 2021). D’où la nécessité d’appliquer une hausse sur les tarifs de la complémentaire santé.
Cette augmentation a un impact fort sur le budget des ménages, dont le pouvoir d’achat est déjà malmené par la flambée des prix de consommation et énergétiques, et par l’envolée des tarifs des autres assurances (habitation et auto).
Comment économiser sur sa complémentaire santé en 2023 ?
La stratégie la plus efficace pour économiser sur sa complémentaire santé est d’ajuster son contrat à ses besoins réels. Il faut alors éliminer tous ceux qui ne sont pas utiles et réduire la couverture de certains soins, suite à une évolution de la situation (amélioration).
Quels sont les autres leviers pour économiser ?
- le versement annuel des cotisations permet en principe de bénéficier des tarifs préférentiels ;
- il est possible de réaliser des économies en souscrivant une complémentaire santé famille ;
- partir en quête d'un meilleur contrat ;
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Réforme des retraites : vers un assouplissement des « carrière longue »
- Le
- Écrit par Stephane Duvignol
La présentation du texte sur la réforme de la retraite a été l’occasion pour la première ministre d’expliquer le mécanisme du départ à la retraite avant l’âge légal fixé à 64 ans. Ce dispositif concernait quelque 125 000 personnes en 2022.
Une meilleure prise en compte des « carrière longue »
Si le report de l’âge légal de départ à la retraite a généré de nombreux débats, celui portant sur les « carrière longue » est resté longtemps en suspens.
Ce dispositif est une reconnaissance pour les travailleurs qui ont commencé leur carrière très tôt et qui, légitimement, pouvaient partir plus tôt à la retraite. Ouvriers du bâtiment, métiers de bouche, coiffeurs… celui-ci concerne aujourd’hui près d’un 1 retraité sur 4.
L’allongement de l’âge de départ légal à 64 ans risquait de remettre en cause cet équilibre. Il n’en fut rien puisque le gouvernement a décidé de son maintien, mais avec toutefois quelques adaptations. Ainsi, plusieurs pistes de solutions ont été avancées, en fonction de la situation particulière de chacun.
Création d’un niveau intermédiaire
Dans son argumentation, le gouvernement souhaite le maintien du mécanisme de « carrière longue », lequel permet concrètement aux travailleurs concernés de partir dès 58 ans, dans le système actuel qui établit à 64 ans l’âge légal pour partir à la retraite avec un taux plein.
Ainsi, ceux qui ont commencé leur activité professionnelle avant l’âge de 18 ans pourront partir à 60 ou 61 ans, sous réserve d’avoir cotisé quatre ou cinq trimestres.
En revanche, les individus dont l’entrée sur le marché du travail est antérieure à vingt ans auront besoin de neuf à dix trimestres pour partir à 62 ou 63 ans.
À noter que des dérogations à l’âge de départ légal sont également prévues pour les salariés victimes d’accident de travail ou de maladie professionnelle ainsi que pour les personnes en situation d’invalidité ou d’inaptitude.
Enfin, le calcul de retraite devrait prendre en compte le congé parental pour les femmes, selon les explications de la cheffe du gouvernement Élisabeth Borne.
Principales mesures de la réforme des retraites
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Âge de départ à la retraite avec la Réforme
Spécificités de la réforme
Réforme des retraites : Qui pourra bénéficier de la pension minimale à 1 200 euros ?
- Le
- Écrit par Stephane Duvignol
C’est l’un des programmes phares d’Emmanuel Macron depuis qu’il a élu domicile à l’Élysée, mais c’est également l’un des plus contestés. Ce qui explique surement la difficulté de sa mise en place. Pour autant, la réforme des retraites n’a pas fini de faire parler d’elle, surtout lorsque la présidence et le gouvernement n’arrivent pas à accorder leurs violons sur certains points.
Emmanuel Macron et Élisabeth Borne ne sont pas sur la même longueur d’onde
Des erreurs de communication ou bien une réelle divergence d’opinions ? Toujours est-il que des discordances sont constatées dans le discours du président de la République et celui de la première ministre concernant les bénéficiaires de la pension minimale à 1 200 euros nets par mois, dans le cadre de la réforme des retraites. L’homme fort de l’Élysée a affirmé, juste avant sa réélection, que tous les retraités, à savoir ceux qui le sont déjà à l’heure actuelle et ceux des années à venir, seront concernés par ce « minimum contributif ».
Le gouvernement a communiqué sur une augmentation de 100 euros par mois, pour atteindre ce minimum de 85 % du Smic net. Or ce Smic net mensuel est aujourd’hui de 1 353 euros. Ramené à 85 %, cela donnerait 1150 euros par mois, proche de 1200€ mais pas exactement le montant annoncé. Cependant, avec un objectif de mise en place de la réforme en fin d'année, (à partir du 1er septembre), on peut imaginer que le gouvernement pourrait revaloriser le Smic dans l’intervalle afin d'atteindre le montant de 1200€ annoncé.
Aujourd’hui, les quelque 6 millions de retraités (actuels) ne savent donc plus sur quel pied danser. Ils devront prendre leur mal en patience et espérer effectivement que le sujet soit remis sur le tapis et que le débat entre l’exécutif et l’Assemblée nationale puisse avoir lieu.
Du grain à moudre pour les détracteurs de la réforme
Comme dit précédemment, cette réforme des retraites ne fait pas l’unanimité au sein de la population, mais également au sein des partis politiques.
La dissonance entre l’Élysée et Matignon ne va pas faciliter la tâche à Elisabeth Borne qui est partie en quête de soutien parmi les différents partis politiques.
Principales mesures de la réforme des retraites
- Comprendre la réforme
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Âge de départ à la retraite avec la Réforme
Spécificités de la réforme
Assurance-vie : Garance Mutuelle relève les rendements de ses fonds en euros
- Le
- Écrit par Stephane Duvignol
Les épargnants ayant souscrit une assurance-vie chez Garance Mutuelle et qui détiennent des fonds en euros dans leurs contrats ont de quoi se réjouir. En effet, l’assureur vient de leur annoncer une hausse du rendement net des fonds en euros au titre de l’exercice 2022. Celui-ci s’élève désormais à 2,85 % hors frais de gestion. Les titulaires d’une assurance-vie multisupports ou d’un plan d’épargne retraite (PER) auront également droit à une revalorisation du taux de rémunération de leurs contrats.
En concurrence avec… Le livret A !
Que les fonds en euros chez Garance Mutuelle rapportent plus que la moyenne, ce n’est pas vraiment une nouveauté puisque c’était déjà le cas en 2021 et en 2020. Garance etait déjà sur ces 2 années l'assureur proposant la meilleure rémunération sur un contrat 100% sécurisé.
La raison de cette hausse du rendement est à chercher du côté du livret A qui, lui aussi, s’est refait une santé en se débarrassant de l’étiquette du « placement qui rapporte le moins ». Ainsi, les titulaires de livret A ont eu droit à un rendement de 2 % alors que ce dernier s’élevait à peine à 0,5 % il y encore quelques mois. L’augmentation du taux du livret A, qui devrait encore se poursuivre en février prochain, découle quant à elle de la remontée du taux de la Banque centrale européenne (BCE), mais aussi de l’inflation.
En 2022, les fonds en euros ont rapporté en moyenne entre 1,7 % et 2 %. Garance Mutuelle fait mieux puisque l’assureur offre une rémunération de 2,8 %. Les fonds en euros ne sont pas les seuls produits financiers gratifiés d’une hausse de rendement chez Garance Mutuelle. L’assurance-vie multisupports et le PER ont aussi vu leur rémunération ramenée à 2,8 %, contre respectivement 2,75 % et 2,5 % en 2021.
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Personnes âgées : quelle réduction d’impôt en établissement d’hébergement ?
- Le
- Écrit par Stephane Duvignol
Vous envisagez d’intégrer un établissement d’hébergement pour personnes âgées en dépendance ? Vous pouvez prétendre à une réduction d’impôt si vous remplissez certaines conditions. Focus.
Les conditions à remplir
Afin de pouvoir prétendre à la réduction d’impôt, il faut remplir les conditions suivantes :
- Être domicilié fiscalement en France ;
- Être hébergé dans un EHPAD (Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes) ou un établissement de soins de longue durée ;
- L’EHPAD ou l’établissement de soins de longue durée doit se trouver dans l’Espace économique européen ;
- Le bénéficiaire doit supporter des dépenses liées à la dépendance.
Les frais concernés
Les frais permettant de prétendre à une réduction d’impôt sont :
- Les frais d’hébergement qui comprennent les frais de restauration, d’accueil hôtelier et d’entretien, de restauration et d’animation ;
- Les frais liés à la dépendance qui comprennent tous les frais d’aide à la personne en dépendance hors soins. Il s’agit donc de l’aide à la vie quotidienne, de la surveillance, des activités…
En l’absence de dépenses liées à la dépendance, les frais d’hébergement seuls n’ouvrent pas droit à une réduction d’impôt.
À combien peut s’élever la réduction d’impôt ?
La réduction d’impôt proposée correspond à 25 % des frais par année dans une limite de 10 000 € de frais par an et par personne. Le montant maximal de la réduction sera donc de 2 500 € par an et par personne.
Quelles formalités pour bénéficier de la réduction d’impôt ?
Il n’existe pas de formalité à remplir à proprement parler. Il suffit de renseigner les frais d’hébergement et de dépendance sur sa déclaration de revenus.
Attention toutefois, si vous bénéficiez déjà d’une autre aide telle que l’Allocation Personnalisée d’Autonomie, l’allocation logement ou encore l’aide sociale du département, il faut penser à les déduire des dépenses.
Par contre, pour les couples mariés ou pacsés, il est tout à fait possible de cumuler la réduction d’impôt pour dépendance avec le crédit d’impôt pour l’emploi d’un salarié à domicile.
L’un des conjoints doit alors employer un(e) aide à domicile et l’autre être hébergé en établissement pour personnes âgées dépendantes.
En savoir plus sur les aides sociales
- L'APA : Allocation Personnalisée d'Autonomie
- L'ASPA : Allocation de solidarité aux personnes agées
- L'allocation veuvage et la pension de réversion
- RSA et retraite
- Les aides PCH et AAH pour les personnes hadicapées
- L'ASI : Allocation supplémentaire d'invalidité
- La CSS : La complémentaire Santé Solidaire
- ARDH : Aide au Retour à Domicile après Hospitalisation
- Les aides versées par les Caisses de retraite
- ASH : Aide Sociale à l'Hébergement des personnes agées
- Les aides pour installer une téléassistance
- Les aides pour le maintien à domicile
- Les aides pour les prestations de ménages
- Les aides financières pour le jardinage
- Les aides pour les Personnes à Mobilité Réduite - PMR pour une automobilile
Personnes âgées : quelle réduction d’impôt en établissement d’hébergement ?
- Le
- Écrit par Stephane Duvignol
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Afin de pouvoir prétendre à la réduction d’impôt, il faut remplir les conditions suivantes :
- Être domicilié fiscalement en France ;
- Être hébergé dans un EHPAD (Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes) ou un établissement de soins de longue durée ;
- L’EHPAD ou l’établissement de soins de longue durée doit se trouver dans l’Espace économique européen ;
- Le bénéficiaire doit supporter des dépenses liées à la dépendance.
Les frais concernés
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- Les frais d’hébergement qui comprennent les frais de restauration, d’accueil hôtelier et d’entretien, de restauration et d’animation ;
- Les frais liés à la dépendance qui comprennent tous les frais d’aide à la personne en dépendance hors soins. Il s’agit donc de l’aide à la vie quotidienne, de la surveillance, des activités…
En l’absence de dépenses liées à la dépendance, les frais d’hébergement seuls n’ouvrent pas droit à une réduction d’impôt.
À combien peut s’élever la réduction d’impôt ?
La réduction d’impôt proposée correspond à 25 % des frais par année dans une limite de 10 000 € de frais par an et par personne. Le montant maximal de la réduction sera donc de 2 500 € par an et par personne.
Quelles formalités pour bénéficier de la réduction d’impôt ?
Il n’existe pas de formalité à remplir à proprement parler. Il suffit de renseigner les frais d’hébergement et de dépendance sur sa déclaration de revenus.
Attention toutefois, si vous bénéficiez déjà d’une autre aide telle que l’Allocation Personnalisée d’Autonomie, l’allocation logement ou encore l’aide sociale du département, il faut penser à les déduire des dépenses.
Par contre, pour les couples mariés ou pacsés, il est tout à fait possible de cumuler la réduction d’impôt pour dépendance avec le crédit d’impôt pour l’emploi d’un salarié à domicile.
L’un des conjoints doit alors employer un(e) aide à domicile et l’autre être hébergé en établissement pour personnes âgées dépendantes.
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Classement des meilleurs PER en 2022 : Boursorama Malta s’adjuge la première place
- Le
- Écrit par Stephane Duvignol
Le PER Malta de Boursorama est désigné meilleur plan d’épargne retraite dans la catégorie grand public pour la deuxième année de suite. Une performance qui ne doit rien au hasard : la banque en ligne ayant fait le choix de réduire drastiquement ses frais.
Le Top 3 des meilleurs PER 2022
En octobre 2019, les Français découvraient le PER, un nouveau produit d’épargne retraite venu remplacer les autres plans de retraite : PERP, contrat Madelin, Perco.
Trois ans après, le succès du PER a dépassé les attentes, puisqu’il a déjà enregistré plus de 6 millions de souscriptions auprès des banques, mutuelles et autres entreprises d’assurance.
Dans son classement annuel des Meilleurs plans d’épargne retraite, Le Figaro a décerné la première place au PER Malta de Boursorama. Dans la catégorie Grand public, ce palmarès des victoires des PER est établi sur l’analyse de 43 contrats.
La deuxième place de ce classement est revenue au MIF PER Retraite, un produit distribué par la mutuelle d’épargne MIF, tandis qu’ASAC FAPES PER a terminé sur la troisième marche du podium.
Les principaux PER du marché Français en 2024 - Plan Epargne Retraite
- PER AG2R La Mondiale - Ambition Retraite
- PER Allianz
- PER Altaprofits
- PER AFER Retraite individuelle
- PER AGEAS - PER ZEN
- PER AGIPI - FAR PER
- PER Ampli Mutuelle - PER Liberté
- PER ASAP FAPES
- PER Assurance vie.com - PER Évolution
- PER Abeille Assurances Retraite Plurielle
- PER AXA - Ma retraite
- PER Banque Populaire
- PER BNP Paribas Multiplacement
- PER CARAC
- PER CARDIF
- PER CARAVEL
- PER Crédit Agricole
- PER Epargnissimo
- PER ERES
- PER GAN "Nouvelle vie"
- PER GAN Eurocourtage - Galya Retraite Individuelle
- PER GARANCE Mutuelle "Sérénité"
- PER Generali "La retraite"
- PER Gresham Banque Privée "Concordances
- PER La France Mutualiste - LFM PER Form
- PER La Medicale - PERennité
- PER Intential - Liberalys Retraite
- PER La Banque Postale
- PER LCL
- PER Le conservateur
- PER LINXEA
- PER MAAF Winalto Retraite
- PER MACIF Multi Horizon Retraite
- PER MAIF
- PER MACSF
- PER Matmut - Complice Retraite
- PER MMA - Signature PER
- PER M de MeilleurPlacement
- PER Mes Placements - Ma solution PER
- PER MIF
- PER Mypension
- PER Nalo
- PER Optimum vie - Strategie euro prestige
- PER ORADEA - PrimoPER
- PER Mes-Placements
- PER Placement-direct
- PER Patrimea
- PER Préfon
- PER SMA
- PER Sogécap Acacia
- PER Suravenir
- PER Spirica - Version Absolue Retraite
- PER Swisslife
- PER Swisslife Assurance et Patrimoine - Perfutura
- PER UMR
- PER Yomoni
Les atouts du PER Malta de Boursorama
Commercialisé par Boursorama et assuré par Oradéa Vie, le PER Malta s’adresse à une large catégorie d’épargnants et peut être souscrit dès l’âge de 18 ans. Ce PER d’assurance présente deux caractéristiques uniques qui expliquent son succès.
Les ETF sont des fonds destinés à répliquer la performance d’un indice boursier. Gérés par la société américaine BlackRock, ces fonds bénéficient du Label Investissement Socialement Responsable (ISR). Ce qui permet à Boursorama d’appliquer des frais globaux particulièrement compétitifs : 1 % par an contre 2,35 % en moyenne pour les autres PER de la même catégorie.
Par ailleurs, avec un versement initial minimal de 150 euros, le PER Malta reste un produit très accessible. Enfin, le choix limité d’orientations d’investissement sécurise l’épargne sur le long terme.
En savoir plus sur le PER - Plan Épargne Retraite
Comparatif et simulateurs des meilleurs PER
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La fiscalité et l’avantage du PER pour défiscaliser en épargnant
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