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C’est l’un des programmes phares d’Emmanuel Macron depuis qu’il a élu domicile à l’Élysée, mais c’est également l’un des plus contestés. Ce qui explique surement la difficulté de sa mise en place. Pour autant, la réforme des retraites n’a pas fini de faire parler d’elle, surtout lorsque la présidence et le gouvernement n’arrivent pas à accorder leurs violons sur certains points.

Emmanuel Macron et Élisabeth Borne ne sont pas sur la même longueur d’onde

Des erreurs de communication ou bien une réelle divergence d’opinions ? Toujours est-il que des discordances sont constatées dans le discours du président de la République et celui de la première ministre concernant les bénéficiaires de la pension minimale à 1 200 euros nets par mois, dans le cadre de la réforme des retraites. L’homme fort de l’Élysée a affirmé, juste avant sa réélection, que tous les retraités, à savoir ceux qui le sont déjà à l’heure actuelle et ceux des années à venir, seront concernés par ce « minimum contributif ».

Le gouvernement a communiqué sur une augmentation de 100 euros par mois, pour atteindre ce minimum de 85 % du Smic net. Or ce Smic net mensuel est aujourd’hui de 1 353 euros. Ramené à 85 %, cela donnerait 1150 euros par mois, proche de 1200€ mais pas exactement le montant annoncé. Cependant, avec un objectif de mise en place de la réforme en fin d'année, (à partir du 1er septembre), on peut imaginer que le gouvernement pourrait revaloriser le Smic dans l’intervalle afin d'atteindre le montant de 1200€ annoncé.

Aujourd’hui, les quelque 6 millions de retraités (actuels) ne savent donc plus sur quel pied danser. Ils devront prendre leur mal en patience et espérer effectivement que le sujet soit remis sur le tapis et que le débat entre l’exécutif et l’Assemblée nationale puisse avoir lieu.

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Du grain à moudre pour les détracteurs de la réforme

Comme dit précédemment, cette réforme des retraites ne fait pas l’unanimité au sein de la population, mais également au sein des partis politiques.

La dissonance entre l’Élysée et Matignon ne va pas faciliter la tâche à Elisabeth Borne qui est partie en quête de soutien parmi les différents partis politiques.

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Les épargnants ayant souscrit une assurance-vie chez Garance Mutuelle et qui détiennent des fonds en euros dans leurs contrats ont de quoi se réjouir. En effet, l’assureur vient de leur annoncer une hausse du rendement net des fonds en euros au titre de l’exercice 2022. Celui-ci s’élève désormais à 2,85 % hors frais de gestion. Les titulaires d’une assurance-vie multisupports ou d’un plan d’épargne retraite (PER) auront également droit à une revalorisation du taux de rémunération de leurs contrats.

En concurrence avec… Le livret A !

Que les fonds en euros chez Garance Mutuelle rapportent plus que la moyenne, ce n’est pas vraiment une nouveauté puisque c’était déjà le cas en 2021 et en 2020. Garance etait déjà sur ces 2 années l'assureur proposant la meilleure rémunération sur un contrat 100% sécurisé. 

La raison de cette hausse du rendement est à chercher du côté du livret A qui, lui aussi, s’est refait une santé en se débarrassant de l’étiquette du « placement qui rapporte le moins ». Ainsi, les titulaires de livret A ont eu droit à un rendement de 2 % alors que ce dernier s’élevait à peine à 0,5 % il y encore quelques mois. L’augmentation du taux du livret A, qui devrait encore se poursuivre en février prochain, découle quant à elle de la remontée du taux de la Banque centrale européenne (BCE), mais aussi de l’inflation.

En 2022, les fonds en euros ont rapporté en moyenne entre 1,7 % et 2 %. Garance Mutuelle fait mieux puisque l’assureur offre une rémunération de 2,8 %. Les fonds en euros ne sont pas les seuls produits financiers gratifiés d’une hausse de rendement chez Garance Mutuelle. L’assurance-vie multisupports et le PER ont aussi vu leur rémunération ramenée à 2,8 %, contre respectivement 2,75 % et 2,5 % en 2021.

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Les 5 contrats d'assurance-vie sélectionnés par Retraite.com

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Plus de choix pour une gestion libre du contrat

Garance Mutuelle ne s’arrête pas là. L’assureur a également décidé d’élargir le choix pour ses adhérents en matière d’unités de compte.

Pour cela, il a développé un nouveau partenariat avec Quantalys, le spécialiste de la sélection de fonds. Les adhérents peuvent désormais choisir parmi plus d’une quarantaine de supports au lieu de 18.

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Vous envisagez d’intégrer un établissement d’hébergement pour personnes âgées en dépendance ? Vous pouvez prétendre à une réduction d’impôt si vous remplissez certaines conditions. Focus.

Les conditions à remplir

Afin de pouvoir prétendre à la réduction d’impôt, il faut remplir les conditions suivantes :

  • Être domicilié fiscalement en France ;
  • Être hébergé dans un EHPAD (Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes) ou un établissement de soins de longue durée ;
  • L’EHPAD ou l’établissement de soins de longue durée doit se trouver dans l’Espace économique européen ;
  • Le bénéficiaire doit supporter des dépenses liées à la dépendance.

Les frais concernés

Les frais permettant de prétendre à une réduction d’impôt sont :

  • Les frais d’hébergement qui comprennent les frais de restauration, d’accueil hôtelier et d’entretien, de restauration et d’animation ;
  • Les frais liés à la dépendance qui comprennent tous les frais d’aide à la personne en dépendance hors soins. Il s’agit donc de l’aide à la vie quotidienne, de la surveillance, des activités…

En l’absence de dépenses liées à la dépendance, les frais d’hébergement seuls n’ouvrent pas droit à une réduction d’impôt.

À combien peut s’élever la réduction d’impôt ?

La réduction d’impôt proposée correspond à 25 % des frais par année dans une limite de 10 000 € de frais par an et par personne. Le montant maximal de la réduction sera donc de 2 500 € par an et par personne.

Quelles formalités pour bénéficier de la réduction d’impôt ?

Il n’existe pas de formalité à remplir à proprement parler. Il suffit de renseigner les frais d’hébergement et de dépendance sur sa déclaration de revenus.

Attention toutefois, si vous bénéficiez déjà d’une autre aide telle que l’Allocation Personnalisée d’Autonomie, l’allocation logement ou encore l’aide sociale du département, il faut penser à les déduire des dépenses.

Par contre, pour les couples mariés ou pacsés, il est tout à fait possible de cumuler la réduction d’impôt pour dépendance avec le crédit d’impôt pour l’emploi d’un salarié à domicile.

L’un des conjoints doit alors employer un(e) aide à domicile et l’autre être hébergé en établissement pour personnes âgées dépendantes.

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Les conditions à remplir

Afin de pouvoir prétendre à la réduction d’impôt, il faut remplir les conditions suivantes :

  • Être domicilié fiscalement en France ;
  • Être hébergé dans un EHPAD (Établissement d’Hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes) ou un établissement de soins de longue durée ;
  • L’EHPAD ou l’établissement de soins de longue durée doit se trouver dans l’Espace économique européen ;
  • Le bénéficiaire doit supporter des dépenses liées à la dépendance.

Les frais concernés

Les frais permettant de prétendre à une réduction d’impôt sont :

  • Les frais d’hébergement qui comprennent les frais de restauration, d’accueil hôtelier et d’entretien, de restauration et d’animation ;
  • Les frais liés à la dépendance qui comprennent tous les frais d’aide à la personne en dépendance hors soins. Il s’agit donc de l’aide à la vie quotidienne, de la surveillance, des activités…

En l’absence de dépenses liées à la dépendance, les frais d’hébergement seuls n’ouvrent pas droit à une réduction d’impôt.

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Quelles formalités pour bénéficier de la réduction d’impôt ?

Il n’existe pas de formalité à remplir à proprement parler. Il suffit de renseigner les frais d’hébergement et de dépendance sur sa déclaration de revenus.

Attention toutefois, si vous bénéficiez déjà d’une autre aide telle que l’Allocation Personnalisée d’Autonomie, l’allocation logement ou encore l’aide sociale du département, il faut penser à les déduire des dépenses.

Par contre, pour les couples mariés ou pacsés, il est tout à fait possible de cumuler la réduction d’impôt pour dépendance avec le crédit d’impôt pour l’emploi d’un salarié à domicile.

L’un des conjoints doit alors employer un(e) aide à domicile et l’autre être hébergé en établissement pour personnes âgées dépendantes.

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Le PER Malta de Boursorama est désigné meilleur plan d’épargne retraite dans la catégorie grand public pour la deuxième année de suite. Une performance qui ne doit rien au hasard : la banque en ligne ayant fait le choix de réduire drastiquement ses frais.

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Le Top 3 des meilleurs PER 2022

En octobre 2019, les Français découvraient le PER, un nouveau produit d’épargne retraite venu remplacer les autres plans de retraite : PERP, contrat Madelin, Perco.

Trois ans après, le succès du PER a dépassé les attentes, puisqu’il a déjà enregistré plus de 6 millions de souscriptions auprès des banques, mutuelles et autres entreprises d’assurance.

Dans son classement annuel des Meilleurs plans d’épargne retraite, Le Figaro a décerné la première place au PER Malta de Boursorama. Dans la catégorie Grand public, ce palmarès des victoires des PER est établi sur l’analyse de 43 contrats.

La deuxième place de ce classement est revenue au MIF PER Retraite, un produit distribué par la mutuelle d’épargne MIF, tandis qu’ASAC FAPES PER a terminé sur la troisième marche du podium.

Les atouts du PER Malta de Boursorama

Commercialisé par Boursorama et assuré par Oradéa Vie, le PER Malta s’adresse à une large catégorie d’épargnants et peut être souscrit dès l’âge de 18 ans. Ce PER d’assurance présente deux caractéristiques uniques qui expliquent son succès.

D’une part, il s’agit d’un PER, dont les supports d’investissement sont constitués essentiellement par des ETF (Exchange Traded Funds). D’autre part, ce produit ne propose que trois profils de gestion, à savoir : prudent, équilibré et dynamique.

Les ETF sont des fonds destinés à répliquer la performance d’un indice boursier. Gérés par la société américaine BlackRock, ces fonds bénéficient du Label Investissement Socialement Responsable (ISR). Ce qui permet à Boursorama d’appliquer des frais globaux particulièrement compétitifs : 1 % par an contre 2,35 % en moyenne pour les autres PER de la même catégorie.

Par ailleurs, avec un versement initial minimal de 150 euros, le PER Malta reste un produit très accessible. Enfin, le choix limité d’orientations d’investissement sécurise l’épargne sur le long terme.

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L’Agirc-Arrco a publié le calendrier des versements pour 2023. L’organisme de retraite complémentaire continue à verser les pensions en début de chaque mois, mais attention, selon le lieu de résidence ou le montant de la retraite, le paiement mensuel n’est pas systématique.

 

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Précisions sur le calendrier des versements de l’Agirc-Arrco

Si l’Agirc-Arrco verse toujours les pensions en début de mois, c’est avec quelques nuances sur les jours. En effet, il faut prendre en compte les week-ends et les jours fériés qui peuvent décaler le paiement.

  • Ainsi, pour les mois de février, mars, juin, août, septembre et décembre, le versement sera bien effectif au 1er de chaque mois.
  • En revanche, le paiement est effectué le 2 du mois pour janvier, mai, octobre et novembre, et le 3 du mois pour avril et juillet.

Les cas particuliers

Comme expliqué précédemment, il existe des situations particulières qui peuvent induire des modifications de la date de versement.

L’Agirc-Arrco distingue trois cas particuliers :

  • Les retraités qui ont décidé de s’expatrier en dehors de France (outre-mer compris) et de l’Union européenne pour profiter de leur retraite et qui ne disposent plus de compte bancaire en France. Le versement des pensions s’effectue alors tous les trois mois. Toutefois, il est possible d’effectuer une demande pour pouvoir être payé tous les mois. Cependant, après une demande de paiement mensuel, cette décision est définitive.
  • Les retraités dont le montant de la retraite est faible. Pour ceux dont le montant de la retraite est compris entre 100 et 200 points, le versement des pensions de l’Agirc-Arrco ne se fait qu’annuellement. Cela est valable pour les résidents comme pour les expatriés.
  • Les retraités qui ont une retraite très faible. Ces derniers peuvent demander le versement en une seule fois si le montant de leur retraite est inférieur ou égal à 100 points. On parle alors de capital unique. Ce dernier est calculé en multipliant le montant brut annuel de la retraite par un coefficient qui dépend de l’âge du bénéficiaire au jour de son départ à la retraite.

 

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Le contrat d’assurance vie EasyVie est un contrat individuel multisupport assuré par CNP Assurances, l’assureur vie du groupe « La Banque Postale ». CNP Assurances créée il y a 170 ans est le deuxième assureur vie français ce qui vous apporte une grande sécurité.

Une performance nette de 1,60% à 3,20% en 2022

La performance nette de frais du fonds EASYVIE Euros en 2022 a été de 1,60% à 3,20% (contre de 1,10% à 2,20% en 2021)

La participation aux bénéfices de l’année 2022 est en hausse sur votre support en euros !

Améliorez également votre taux de participation aux bénéfices grâce au Bonus euros 2023 ! Découvrez le règlement de l’offre sur le site EasyBourse. Au regard de l’environnement économique et de la hausse de l’inflation, CNP Assurances augmente significativement par rapport à 2021, le taux de participation aux bénéfices de référence(1) servi sur le support en euros au titre de l’ensemble de l’année 2022. Ainsi, sur le support en euros EASYVIE EUROS, CNP Assurances propose un taux de participation aux bénéfices de référence de 1,60 % (Taux après prélèvement des frais sur encours et hors prélèvements sociaux).

Dès que la proportion de supports en unités de compte (UC) a dépassé en moyenne 50 % de l’encours, un complément de participation aux bénéfices de + 1,60 % a été attribué, permettant ainsi d’atteindre une participation aux bénéfices de 3,20 %.


Complément de participation aux bénéfices pour 2022

 

Performances du contrat d'assurance vie Easyvie avec bonus UC

Caractéristiques du contrat EasyVie

Un contrat innovant

Le contrat propose un support en euros dédié, « EASYVIE Euros », qui a été revalorisé entre 1,60% et 3,20% en 2022*. (Taux de participation aux bénéfices global net de frais sur encours brut de prélèvements sociaux, selon l’éventuelle majoration attribuée au titre de l’offre « Complément de participation aux bénéfices »)

* Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

Le contrat est gérable à 100% en ligne (1), de la souscription jusqu'au rachat total à travers une plateforme très intuitive et l’accès à des conseillers en ligne.

Un contrat accessible dès 1000 €

Pour souscrire au contrat EasyVie, un versement minimum de 1 000 € est demandé. Des versements ponctuels ou programmés sont accessibles à partir de 50 euros.

Des rachats partiels dès 250 €

Les rachats partiels sont possibles dès 250 €, voire 150 € quand ils sont programmés sous réserve de conserver sur son contrat 750 € minimum.

Des frais très bas

Le contrat d'assurance vie d'EasyBourse propose des frais très compétitifs parmi les plus bas du marché, et n’a rien à envier à ses concurrents en ligne :

  • 0€ de frais d'entrée(2)
  • 0% de frais de versements
  • 0% de frais d'arbitrages à l’initiative du souscripteur
  • 0% de frais de sortie.
  • des frais sur encours qui sont dégressifs(3) en fonction d’une valeur de référence dont le calcul est précisé dans les conditions générales EasyVie.

 

(1) Selon les conditions et limites définies dans les Conditions Générales d’Utilisation des services en ligne assurance vie.
(2) Hors frais spécifiques aux SCPI. 

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Préparer sa retraite est un moment de vie important et pas toujours simple à apprehender.  Retraite.com a interviewé Marilyn Vilardebo, présidente et fondatrice du cabinet de conseils retraite Origami & Co. Pour la présidente du Cabinet, la seule question à laquelle vous devez répondre est : à quel moment est-il le plus judicieux de bénéficier de mes droits ? 

Prendre sa retraite, c’est d’abord encaisser ce qui vous est dû

Il est alors vivement recommandé de prendre en main son dossier à partir de 45-50 ans.  D’une part, pour vérifier au fil du temps qu’on a bien conservé tous ses documents et pouvoir être en mesure de les réclamer, mais aussi vérifier l’enregistrement de sa carrière par le biais de son relevé de carrière mis à disposition sur le site info-retraite.

D’autre part, cela permet de se préparer au quand ? Combien ? Comment ? et d’élaborer d’éventuelles stratégies comme comparer plusieurs scénarii de revenus ou de statuts par exemple pour décider en tout connaissance de cause.

Le choix de votre fin de carrière

La retraite n’est pas un couperet parce qu’il existe une règlementation foisonnante avec de nombreux dispositifs. Pour les actionner, encore faut-il les connaitre : qu’est-ce que la retraite progressive ?, ai-je intérêt à racheter des trimestres ?, puis-je régulariser mes arriérés de cotisations ?, dans quelles conditions pourrai-je cumuler emploi et retraite ?

On perçoit sa retraite durant 25 ans en moyenne, alors négliger ces étapes peut s’avérer très couteux. Prenons par exemple, une personne qui n’a pas vérifié sa carrière et s’aperçoit quelques mois avant son âge légal qu’il lui manque des trimestres, elle devra redoubler d’effort pour s’assurer que le rachat de trimestres lui faisant atteindre son taux plein sera réalisé dans les temps car les délais des caisses peuvent être pharaoniques et pendant ce temps-là, chaque mois qui passe est un mois de pension de perdu ! Autre exemple : ne pas avoir déclenché ses retraites à son âge légal (62 ans aujourd’hui) parce que vous pensiez être à taux minoré et vous apercevoir qu’en fait, il vous manquait des trimestres et vous auriez pu liquider il y a plusieurs mois déjà…

En conclusion, plus vous anticiperez, plus vous pourrez choisir en toute connaissance de cause et vivrez cette étape de vie comme un nouveau départ.

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Pas de report en 2024. Les recouvrements des cotisations de la Cipav, la caisse de retraite des professionnels libéraux, seront bel et bien transférés aux Urssaf dès début 2023. Ce transfert s’accompagne de quelques changements pratiques pour les cotisants, comme la suppression des options de réduction ou de majoration des cotisations. Explications.

Vers une simplification des démarches

Prévu dans la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2020, le transfert du recouvrement des cotisations de retraites de la Cipav vers l’Urssaf se fera en début d’année.

Cette réforme, qui avait été reportée en raison de la crise sanitaire, poursuit plusieurs objectifs.

Tout d’abord : décomplexifier la procédure en assignant un interlocuteur unique pour l’ensemble des services liés aux cotisations.

Par ailleurs, « ce transfert vise à rationaliser le coût du recouvrement, en le divisant par deux », explique François Clouet, directeur de la Cipav.

Enfin, le passage du recouvrement des cotisations vers l’Urssaf permettra aux cotisants de bénéficier de nouveaux services plus adaptés à leurs besoins.

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Quid des retraites complémentaires ?

Initialement, la loi de financement de la Sécurité sociale prévoyait de transférer le recouvrement des cotisations de retraites complémentaires Agirc-Arrco vers les Urssaf au 1er janvier 2022. Un transfert qui ne s’est finalement pas concrétisé.

Malgré la volonté du gouvernement d’opérationnaliser cette réforme au 1er janvier 2023, la Mission d’évaluation et de contrôle de la sécurité sociale ainsi que la Commission des affaires sociales du Sénat suggèrent de reporter une nouvelle fois ce projet au 1er janvier 2024.

Quoi qu’il en soit, « les évolutions apportées par le transfert des cotisations à l’Urssaf ne pourront que profiter aux usagers », souligne François Clouet.

Ce dernier explique que « le système par tranche de revenu actuellement appliqué pour le calcul des cotisations de retraite complémentaire va basculer vers un mode de calcul proportionnel à partir du 1er janvier 2023 ».

Ainsi, de nouveaux barèmes vont être mis en place afin de garantir l’équité entre les usagers tout en leur permettant d’avoir une meilleure lisibilité des mécanismes de cotisation.

À noter que la cotisation facultative du conjoint n’existera plus avec l’entrée en vigueur de la réforme.

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Si tout le monde est au courant du projet de report de l’âge de départ à la retraite à 64 ans, de l’augmentation de la durée de cotisation et de la hausse de la pension minimale, les médias n’ont pas parlé de la pension de réversion. Le point dans cet article.

Les restrictions liées à l’âge

Les conditions liées à l’âge minimum pour pouvoir toucher la pension de réversion ne seront pas modifiées par la réforme à venir. Il faut avoir au moins 55 ans pour en bénéficier si le conjoint décédé travaillait dans le secteur privé et il n’y a toujours aucune condition d’âge dans le cas où le défunt était un agent du service public.

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Pension minimale à 85 % du SMIC et pension de réversion

La pension minimale à 85 % du SMIC vise à garantir une rente minimum aux personnes les plus vulnérables. Elle est calculée à partir de la retraite de base et la retraite complémentaire. La pension de réversion n’est aucunement prise en compte dans le calcul et ne joue donc pas sur le plancher limite de 1 309 €.

Règles d’obtention pour les retraités du public

Si plusieurs changements sont prévus pour le public, notamment la suppression des régimes spéciaux pour les nouvelles recrues et le report de l’âge de départ à 64 ans étendu aux fonctionnaires, aucune modification ne sera cependant apportée à la pension de réversion. Les règles d’obtention dans le public restent inchangées.

Pour rappel, la pension de réversion correspond à la part des pensions du régime de base et des régimes complémentaires que touchait un défunt et qui est reversée au veuf ou à la veuve. La demande s’effectue de façon entièrement automatisée via internet ou sur son compte retraite.

Cette pension ne concerne que les personnes mariées. Les concubins ainsi que les pacsés n’y ont pas droit. Par contre, les ex-époux peuvent y prétendre. Le montant de cette pension ne peut pas excéder 11 877,84 € par an ou 989,82 € par mois.

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Lors de son allocution de présentation du projet de réforme des retraites, la première ministre Elisabeth Borne a avancé à plusieurs reprises que le texte prévoyait des changements en faveur des femmes. À y regarder de plus près, cela ne se vérifie pas systématiquement. Focus sur certaines des mesures annoncées comme avantageuses pour les femmes.

Le report de l’âge de départ à la retraite

Si les 8 trimestres par enfant sont maintenus et favorisent toujours les femmes, ils ne permettent plus forcément de bénéficier d’une retraite anticipée. Pour pouvoir partir à 62 ans grâce à eux, il leur faudra travailler davantage.

De plus, ce report de l’âge pénalise les femmes puisqu’elles doivent cotiser plus longtemps que les hommes.

 

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Les congés parentaux

Ils profitent plus aux femmes, puisque ce sont généralement elles qui prennent ces congés et qu’ils peuvent être comptabilisés comme période de cotisation.

Le dispositif « retraite anticipée pour carrière longue » (RACL) devrait ainsi concerner plusieurs milliers de femmes nées en 1966 qui pourront donc partir plus tôt à la retraite.

En outre, les congés parentaux sont pris en compte dans le calcul du minimum contributif majoré et devraient augmenter les pensions faibles.

La revalorisation plus rapide des pensions pour les femmes

Les pensions des femmes vont effectivement être revalorisées plus rapidement que celles des hommes.

Toutefois, cette hausse n’est que la conséquence de l’augmentation des cotisations et elle ne compense toujours pas l’écart de salaires entre les deux sexes.

La pension minimale à 85 % du SMIC

Elle va favoriser logiquement les femmes puisqu’elles ont rarement une carrière complète.

La comptabilisation des trimestres pour une aide à domicile

Cette mesure va effectivement profiter aux femmes, car elles sont en majorité aide à domicile.

Le nouveau dispositif de cumul emploi-retraite

Les droits supplémentaires prévus par la réforme vont surtout avantager les hommes, puisqu’ils sont 52 % à être affiliés à la CNAV et 75 % à la sécurité sociale des indépendants.

La suppression de la décote

Elle est effectivement favorable aux femmes, mais il ne s’agit que de la conservation d’une mesure.

 

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La pension minimum de 1 200 euros concernera prioritairement les cotisants qui répondront aux critères établis dans le projet de réforme. Explications.

Une pension minimale à 1 200 euros : de quoi s’agit-il ?

Revaloriser à 1 200 euros bruts le montant des plus petites retraites : la mesure a été annoncée par Élisabeth Borne lors de la présentation du projet de loi sur la réforme des retraites, le 10 janvier dernier. Ce dispositif entrera en vigueur dès septembre et bénéficiera à certaines catégories de retraités.

Si le recul de l’âge légal de départ à la retraite avait fait grincer des dents, la mise en place de ce minimum de retraite est censée faire contrepoids. La Première ministre en avait d’ailleurs fait l’éloge, en présentant la mesure comme une avancée sociale.

 

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Pension minimale : pour qui ?

La pension minimale à 1 100 euros avait été l’une des promesses phares d’Emmanuel Macron pendant sa campagne. Aujourd’hui établie à 1 200 euros, soit 85 % du SMIC net, cette revalorisation permettra aux futurs retraités, plus précisément à ceux qui partent à la retraite à partir du 1er septembre 2023, de percevoir environ 100 euros nets supplémentaires.

  • Cependant, avoir une petite retraite ne suffit pas à être éligible au dispositif.
  • Encore faut-il justifier d’une carrière complète au SMIC.
  • Mais aussi avoir atteint l’âge légal.

Dans les faits, les cotisants avec des revenus modestes pouvant se prévaloir de 42 années de cotisation (43 annuités dès 2027) et se trouvant en âge de partir à la retraite (62 ans actuellement contre 64 ans à l’horizon 2027) seront concernés par le dispositif.

Quant à la question de savoir si les retraités actuels ont droit au même régime, le gouvernement évoque que des tractations sont en cours avec les organisations syndicales et politiques.

Selon la cheffe du gouvernement, « l’augmentation de la pension minimale va bénéficier à 2,5 millions de Français ».

Quid du financement ?

« Le minimum de retraite a vocation à durer », rassure Olivier Véran. Le porte-parole du gouvernement ajoute que « le financement du dispositif sera assuré », sans toutefois avancer plus de précisions.

Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, évoque de son côté plusieurs pistes de financement, dont les fonds du régime accidents du travail et maladies professionnelles.

À noter que les fonctionnaires, qui ont droit d’ores et déjà à un minimum garanti de 1 248,33 euros par mois, sont exclus du dispositif.

 

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Pour le million de Français qui décident de passer leur retraite loin de la France, le climat et le coût de la vie sont les principaux critères de choix de la destination idéale, même si d’autres éléments entrent en jeu. Selon différentes études récentes, le sud de l’Europe reste la région la plus plébiscitée, devant le Maghreb.

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Les pays du pourtour méditerranéen, destination privilégiée des retraités français

La sélection du pays où couler sereinement ses vieux jours ne doit pas se faire au hasard. Outre le climat et le cadre de vie, les facteurs à prendre en compte sont multiples :

  • coût de la vie ;
  • sécurité ;
  • qualité des soins ;
  • accès à la culture...

Ces critères sont fréquemment utilisés pour établir des classements des meilleures destinations pour les seniors français.

Pour la deuxième fois, le palmarès annuel d’un site spécialisé dans les questions de retraite attribue le top 3 à l’Europe, avec le Portugal, l’Espagne et la Grèce. Ce trio est suivi par le Maroc et la Tunisie. Dans une autre enquête, le pays de la Corrida conserve la tête pour la troisième fois, devançant l’Italie. Ces conclusions confirment l’attractivité du pourtour méditerranéen pour les nouveaux retraités.

Mais la météo clémente et les paysages de rêves ne sont pas les seuls arguments en faveur de ces destinations. Les seniors recherchent surtout un lieu où le coût de la vie est inférieur à celui de la France, afin de pouvoir vivre plus confortablement, en dépit de la perte de pouvoir d’achat qui accompagne souvent la retraite.

Ils apprécient en outre d’être géographiquement proches de l’Hexagone, ce qui leur permet d’y faire régulièrement de petits séjours, ou d’y revenir, notamment si leur état de santé l’exige.

Enfin, l’immobilier plus abordable et la fiscalité plus avantageuse pèsent dans la balance. Le principal bémol pour le Maghreb est le sentiment d’insécurité.

Les formalités administratives à respecter pour percevoir ses droits

Toucher sa pension de retraite à l’étranger est possible, à condition de disposer d’un compte bancaire. Cependant, il doit notifier sa caisse de retraite de son changement d’adresse, et au besoin, de ses nouvelles coordonnées bancaires.

Attention, pour certaines prestations soumises à la condition de résidence en France, par exemple l’allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), le versement est interrompu pendant toute la durée de l’expatriation. Une nouvelle demande devra être effectuée en cas de retour.

S’agissant de la couverture maladie, elle est réservée aux pensionnés du régime général français qui résident durablement dans un État membre de l’Union européenne ou dans un pays ayant signé une convention spécifique avec la France. L’assuré doit alors transmettre à l’organisme français de Sécurité sociale l’attestation de droit aux soins de santé que lui a délivré son pays d’accueil.

Tous les retraités français, qu’ils perçoivent un plan de pension personnel ou une pension de réversion, et vivant à l’étranger, doivent se plier à une obligation particulière : justifier de leur existence afin de s’assurer que le bénéficiaire est toujours en vie et prévenir d’éventuels abus. Pour cela, ils doivent fournir un certificat officiel de vie ou d’existence, validé par une autorité locale compétente, comme la mairie, le commissariat de police ou l’ambassade de France. Il est ensuite envoyé à la caisse de retraite concernée, sous peine d’une suspension du versement de la pension.

Afin de limiter les contraintes dues à l’éloignement de ces autorités, la biométrie se présente comme une alternative prometteuse. En 2022, une expérimentation a été menée sur 200 retraités volontaires, pour une reconnaissance faciale via une application mobile. Cette avancée technologique simplifierait considérablement la vie des retraités expatriés, tout en garantissant la sécurité du processus.

Bon à savoir

Les Français qui s’expatrient avant leur retraite peuvent, dans certains cas, accumuler des droits en adhérant volontairement à la Caisse des Français de l’étranger (CFE) en plus du régime de retraite local. Le calcul des trimestres dépend néanmoins de l’existence ou non d’une convention de Sécurité sociale entre le pays hôte et la France.

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Dans le contexte actuel de la réforme des retraites, il ne faut pas ignorer les personnes qui n’ont jamais exercé un métier pour cotiser en vue de toucher une pension. Ont-elles aussi droit à une retraite ? La réponse est oui, suivant les cas. L’Aspa ou Allocation de solidarité aux personnes âgées constitue par ailleurs une aide supplémentaire pour les seniors sans retraite « officielle ».

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Les dispositifs de retraite dont ces individus peuvent bénéficier

En principe, le système de retraite implique qu’une personne ait cotisé pour toucher une retraite. Les cotisations retenues sur ses salaires et versées par ses employeurs seront prises en compte pour la validation des trimestres au régime de retraite de base et pour l’acquisition des points pour la retraite complémentaire.

Les individus qui n’ont jamais travaillé, ou peu, avant d’atteindre l’âge de la retraite peuvent cependant prétendre à une pension et valider des trimestres si :

  • Ils ont effectué le service militaire (4 trimestres) ;
  • Ils ont été indemnisés pour cause de chômage (6 trimestres) ;
  • Ils ont élevé des enfants (4 trimestres) ;
  • La personne concernée a été mère de famille (4 trimestres) ;
  • Les personnes en question ont pris soin d’un enfant ou d’un proche dépendant ou en situation de handicap (un trimestre validé par tranche de 90 jours) ;
Une personne veuve peut aussi, sous conditions, bénéficier d’une partie de la pension du conjoint décédé. Enfin, la pension de réversion peut aussi constituer une possibilité.

L’Aspa : une aide complémentaire

L'allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), qui a remplacé le Minimum Vieillesse depuis 2006, financée par le Fonds de Solidarité Vieillesse est destinée à aider financièrement les personnes âgées, qui ont travaillé ou non (et donc cotisé ou non pour la retraite), et dont les revenus sont faibles. Pour en bénéficier, il faut être âgé de plus de 65 ans ou 60 ans pour les personnes en situation de handicap ou pour les anciens combattants.

À noter que l’Aspa est aussi soumise à des conditions de ressources et/ou de patrimoine :

  • Le montant (de 961,08 euros maximum pour une personne seule et de 1 492,08 euros pour un couple) sera également réduit si les allocataires perçoivent d’autres aides.
  • La demande pour en bénéficier peut être faite auprès de la Caisse nationale d'assurance vieillesse (Cnav) et de la Cavimac (Caisse d'assurance vieillesse, invalidité et maladie des cultes).

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Dans le contexte de concurrence actuel, les fournisseurs en assurance vie rivalisent d’ingéniosité en ce qui concerne les moyens d’attirer des clients. Chez Sicavonline, l’assurance vie KOMPOZ qui séduit déjà par les différents avantages qu’elle offre ajoute une corde à son arc avec la possibilité pour les nouveaux souscripteurs de bénéficier de bonus pouvant atteindre 500 € en carte cadeau multimarque.

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  • Il s’agit actuellement de l’un des contrats les plus intéressants en termes de coûts.
  • Kompoz permet également d’accéder à près de 700 unités de compte (OPCVM, de nombreux titres vifs, des supports immobiliers divers (SCPI, SCI et OPCI) et des trackers boursiers ETF) et laisse ainsi largement le choix aux épargnants pour investir.
  • Aucun frais n’est prélevé à l’entrée, ni sur les versements, ni sur les arbitrages entre différents supports (dans la limite de 15 opérations annuelles toutefois). Et les frais de rachat et de sortie ne s’appliquent que sur certains supports.
  • Concernant la gestion, l’épargnant peut opter pour une gestion libre, déléguée ou pilotée ETF.
  • En cas de versements programmés, les frais de gestion annuels s’élèvent à 0,45 %.

Des bonus au prorata du premier versement

Jusqu’au 31 juillet 2023, ceux qui décident de souscrire une assurance vie Kompoz profiteront d’un bonus dont le montant sera calculé en fonction du premier versement effectué à l’ouverture du contrat. À noter que ce bonus est proposé en carte-cadeau multimarque envoyé par e-mail au nouvel adhérent dans les quatre mois suivant la date de souscription. Pendant cette période, aucun rachat partiel ou total des capitaux versés ne sera autorisé.

Dans le détail, les bonus seront répartis comme suit (par ordre décroissant) :

  • 500 € pour un premier versement de 50 000 € minimum ;
  • 400 € pour un premier versement de 40 000 € minimum ;
  • 300 € pour un premier versement de 30 000 € minimum ;
  • 200 € pour un premier versement de 20 000 € minimum ;
  • 100 € pour un premier versement de 10 000 € minimum.

Les personnes intéressées par l’offre pourront prendre connaissance des conditions auprès de Sicavonline.

 

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Avec les différentes réformes sur la retraite, notamment l’entrée en vigueur de la nouvelle loi au 1er septembre 2023, il n’est pas toujours facile de s’y retrouver. Pour les travailleurs qui ont 40 ans actuellement, voici une petite mise au point pour bien comprendre l’âge de départ à la retraite et les conditions à remplir pour bénéficier d’une retraite à taux plein.

L’âge légal de départ à la retraite recule à 64 ans

Avec la nouvelle réforme, l’âge légal de départ est repoussé à 64 ans, contre 62 ans actuellement. Pour les « quadras » d’aujourd’hui, il reste encore un long chemin à parcourir avant de pouvoir espérer se retirer.

En revanche, pour ceux qui font une carrière longue entamée très jeune, il est possible de partir à la retraite avant 64 ans.

Si par exemple, vous avez commencé à travailler à 18 ans ou avant, vous avez la possibilité de partir à 62 ou même à 60 ans.

Toutefois, cela pourrait affecter le montant de la pension perçue, car il faut avoir suffisamment cotisé pour prétendre au taux plein.
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43 ans de travail requis pour toucher le taux plein

Avec l’accélération de la réforme Touraine, une nouvelle proposition suggère d’étendre l’exigence de 172 trimestres jusqu’à la génération 1967 au lieu de prendre comme référence l’année 1973. Cette éventualité concerne en particulier les quinquagénaires.

Dans tous les cas, les travailleurs âgés de 40 ans aujourd’hui ne seront pas affectés par ces modifications : ils devront de toute façon compléter leurs 172 trimestres de travail pour espérer une pension à taux plein.

Ceux qui auront la possibilité de se retirer plus tôt (à 60 ou 62 ans) devront y réfléchir à deux fois, car un départ anticipé pourrait indiquer une décote significative.

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Les points-clés à retenir

  • La réforme des retraites en cours pourrait affecter directement les quarantenaires en repoussant l’âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans.
  • Les personnes qui ont commencé à travailler très jeunes peuvent envisager un départ anticipé à 60 ou 62 ans en fonction de leur carrière longue.
  • Les quarantenaires doivent travailler pendant 172 trimestres pour bénéficier du taux plein, et le choix de prendre leur retraite à l’âge légal ou d’attendre pour bénéficier d’un taux plein peut avoir un impact significatif sur le montant de leur pension.

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La réforme des retraite, votée dans une ambiance electrique sur l'âge de la retraite décalé à 64 ans pose le problème du chômage des séniors et des solutions pour y remedier. Parmi les mesures présentées, les pistes pour inciter les seniors au chômage à reprendre un emploi sont focalisées sur 3 points : L'index sénior, l'amélioration des conditions du cumul emploi retraite et l'amménagement de la retraite progressive.

Marilyn Vilardebo, présidente et fondatrice du cabinet de conseils retraite Origami & Co nous répond sur le sujet 

Retraite.com : La reforme des retraite a été cristallisée en grande partie sur l’âge légal et de nombreux sujets de gestion de fin de carrière tels que le cumul emploi retraite et la retraite progressive ont été très peu abordé. Pouvez vous nous expliquer les principes de ces 2 options de fin de carrière ?

MV: Le cumul emploi-retraite est un dispositif qui permet de pouvoir continuer à travailler tout en percevant ses pensions de retraite. Attention toutefois car certaines caisses ne le permettent pas comme par exemple la CAVAMAC (agent d’assurance) ou ne permettent qu’un cumul emploi et retraite dit « libéralisé » ( CAVP caisse des avocats). En effet, si vous liquidez vos pensions à taux minoré, vous devez respecter des plafonds de revenus, qui ne sont pas les mêmes suivants les caisses, si vous voulez cumuler emploi et retraite alors que, si vous déclenchez vos pensions à taux plein, le dispositif est « libéralisé » car aucun plafond de revenus est à respecter.

Quant à la retraite progressive, il s’agit de déclencher une partie » de ses pensions à partir de 60 ans et sous conditions d’avoir accumulé 150 trimestres minimum. Il faut donc être à temps partiel et vous percevez le montant de pension du % non travaillé. Par exemple ? si vous êtes à 60% de temps de travail, votre retraite progressive sera de 40%. L’intérêt c’est que vous continuez à cotiser pour votre retraite définitive sur 60% dans l’exemple et à 100% sur décision de l’employeur. Les professions libérales n’ont pas accès à ce dispositif.

Retraite.com : Quelles évolutions vont apporter la réforme sur ces deux aménagements de fin de carrière ? 

MV : Pas d’information précise à ce jour sur ces 2 sujets par le gouvernement . Concernant la retraite progressive : la grande question est de savoir s’ils vont décaler l’âge d’ouverture ou pas…Il serait logique de le faire.

Retraite.com : Cumul emploi retraite ou retraite progressive ? Comment faire son choix  ?

 MV : Pour faire son choix, cela dépend de 2 critères : objectif de vie et calculs. Si vous avez envie de lever le pied et pas le droit à la retraite au titre des carrières longues, vous pouvez opter (avec l’accord de votre employeur pour un passage en temps partiel pour les salariés) pour une retraite progressive. 

Si vous souhaitez plutôt continuer d’exercer, il faut faire les calculs pour savoir si vous n’avez pas intérêt à liquider à taux plein au plus tôt (par le biais d’un rachat de trimestres si taux minoré) pour pouvoir cumuler emploi et retraite de façon « libéralisé ». Evidemment, les calculs démontreront aussi si le coût du rachat vaut la peine via une durée de rentabilité sous 10 ans maximum et dépendra aussi du montant de vos pensions. Plus le montant des pensions est significatifs, plus le rachat est une option rentable !

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Pour cette deuxième édition de l’Observatoire de la Protection des Français* Aéma Groupe réalisée en partenariat avec l’Ifop, a été menée auprès d’un panel représentatif de plus de 3 000 personnes à fin 2022**. Leur sentiment global de protection pour eux et leurs proches recule en un an de 0,3 point à 5,7/10. Il est encore plus bas pour les 18-24 ans (5,4) et les 35-49 ans (5,3). Parmi la population active, les artisans-commerçants (5,3) se déclarent particulièrement « mal protégés ».

Les principaux points qui ressortent de cette étude

Les principaux points de l'études ressortent que : 

  • En un an, la part des Français qui s’estiment mal protégés est passée de 17% à 22%
  • Les deux principales préoccupations des Français pour la société sont le pouvoir d'achat pour 44% et le changement climatique pour 31%
  • Les principales préoccupations des Français pour eux-mêmes et leurs proches, sont le vieillissement (52%), la santé (43%) et le maintien d'un niveau de pouvoir d'achat (32%)
  • La retraite : un sujet de préoccupation croissant avec 18% des français qui ne se sentent pas assez accompagnés sur l'aspect financier de la retraite
  • 1 français sur 5  attend que les assureurs soient acteurs de changement en ce qui concerne l’accès aux soins médicaux (22%), la prévention santé (18%) et le pouvoir d’achat (18%).
 

Vieillissement, retraite, pouvoir d’achat, environnement : Point sur l'étude

Dans un contexte marqué par la brusque montée de l’inflation, la hausse des prix, la crise énergétique liée à la guerre en Ukraine, le pouvoir d’achat est la préoccupation prioritaire des Français pour la société (44%, +1 point vs 2021) selon la deuxième édition de l’Observatoire de la protection. Les Français n’hésitent pas à déclarer que le maintien du pouvoir d’achat représente pour eux-mêmes une véritable source d’inquiétudes et de stress en 2022 (32%).

Le changement climatique est la deuxième source de préoccupation des Français pour la société, (31%, +11 points), avec un sentiment d’éco – anxiété accentué par les catastrophes naturelles survenues l’été 2022 (canicule, sécheresse, incendies).

Autres sujets de préoccupations globaux pour les Français : la sécurité (34%, -14 points) dont la sécurité des personnes (21%, -8 points) et la santé (26%, -4 points) particulièrement l’accès aux soins (21%).

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Inquiétude sur le vieillissement, la dépendance et... la retraite

Parmi les sujets « classiques » d’inquiétude personnelle pour soi et ses proches figurent le vieillissement et la santé. Plus d’un répondant sur deux exprime ainsi des craintes liées au vieillissement (en particulier le décès et la dépendance) comme sources d’appréhension personnelle (52%, contre 64% en 2021). Pour plus 4 Français sur 10, la santé reste considérée comme une source d’appréhension (43%, contre 54% en 2021).

Mais sujet de forte actualité, dans un contexte d’intense débat public et d’incertitudes sur le système de financement, la préparation de la retraite (sur l’aspect financier) représente une importante source d’inquiétude pour soi-même et ses proches. Ce sujet fait partie du trio des thématiques pour lesquelles les Français demandent à être davantage accompagnés (21%).

L’éco-anxiété, une crainte installée voire exacerbée par temps de crise énergétique

Après une année 2022 marquée par des évènements climatiques extrêmes, le changement climatique est devenu le deuxième sujet de préoccupation des Français pour la société, (31% le mentionnant comme tel, contre 20% l’année précédente). Plus d’1 Français sur 2 (55%) ressent de « l’éco-anxiété », et se montre inquiet des conséquences directes du changement climatique. Pour y faire face, les répondants se déclarent prêts à changer certaines de leurs habitudes et surtout celles qui vont dans le sens de la maîtrise du pouvoir d’achat, comme l’isolation du logement.

En matière de prévention, les répondants déclarent attendre des assureurs accompagnement, sensibilisation et formation. Les résultats de l’Observatoire révèlent que les Français n’envisagent pas la lutte contre le réchauffement climatique comme un sujet au cœur du métier historique des assureurs, mais considèrent qu’ils ont leur rôle dans l’accompagnement des entreprises vers la transition écologique. Ils n’hésitent pas à demander par exemple la prise en compte des critères environnementaux et sociaux dans leur politique de souscription (24%).

La prévention : une des clés de la protection de demain ?

Les résultats de cette deuxième édition de l’Observatoire de la protection des Français Aéma Groupe Ifop témoignent de la prise de conscience quant à la nécessité d’accorder, dans le contexte actuel de changement climatique, une place plus importante à la démarche de prévention. Sur ce sujet, les Français sont demandeurs de davantage de pédagogie (et notamment dans les programmes scolaires : 48%) ainsi que d’une démarche mobilisant conjointement les pouvoirs publics, les citoyens et les assureurs, en vue d’anticiper les futurs risques et dans une approche touchant aux différents domaines de la vie (37%).

Les assureurs espérés comme « porteurs de changement », confiance accrue dans les groupes mutualistes

Sur les trois sujets du maintien du pouvoir d’achat, de l’accès aux soins médicaux et de l’accès aux services essentiels, les Français estiment qu’un assureur doit être « porteur de changement ». Si les assureurs sont en effet toujours attendus sur l’accès aux soins médicaux, et la prévention santé (à 22% et 18% respectivement), ils le sont donc désormais, et c’est la nouveauté, sur le pouvoir d’achat (18%, + 5 points par rapport à 2021).

Face aux risques, les proches (54%, -8 points) et le corps médical (44%, -5 points) sont toujours considérés comme les acteurs qui apportent le plus de protection malgré une légère baisse par rapport à 2021, devant les acteurs institutionnels (sécurité sociale, caisses de retraite, forces de l’ordre...). Le sentiment de protection apporté par les assureurs mutualistes est cette année en forte hausse (22%, +9 points, après prise de connaissance de leurs spécificités), jusqu’à talonner les acteurs institutionnels et marquer un écart avec d’autres acteurs tels que les assureurs traditionnels et les banques (15% et 8% respectivement).

Dans ce contexte, les assureurs mutualistes ont toujours la confiance des Français, à 57% (stable), devant les assureurs traditionnels et les banques (44% et 40%, stable). Les attentes prioritaires des Français vis-à-vis des assureurs pour se sentir bien protégés ne changent par ailleurs pas d’une année sur l’autre : des solutions personnalisées, de l’accompagnement tout au long du parcours de vie et dans différents domaines, allant plus loin qu’une simple protection d’assurance.

À PROPOS D’AÉMA GROUPE

Aéma Groupe est le groupe mutualiste de protection né du rapprochement entre Aésio mutuelle et Macif. Avec l’acquisition d’Abeille Assurances (ex. Aviva France) en 2021, Aéma Groupe devient le 5ème acteur de l’assurance en France. Accompagnant et protégeant plus de 11 millions d’assurés, le groupe rassemble plus de 18 000 collaborateurs, 1 800 élus et a réalisé un chiffre d'affaires de 11 milliards d’euros en 2021. La création d’Ofi Invest en septembre 2022 place également désormais le groupe au 5ème rang des acteurs français de gestion d’actifs.
Groupe mutualiste de référence, multimétiers, multimarques, Aéma Groupe imagine chaque jour les contours d’un monde plus juste et plus humain en plaçant la prévenance au cœur de la relation avec ses adhérents, sociétaires et entreprises clientes.

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Si vous avez commencé votre carrière tôt et si vous avez acquis un nombre suffisant de trimestres, vous pourriez être éligible à une pension de retraite anticipée. La réforme des retraites prévoit en effet que ceux qui ont une carrière longue ou très longue peuvent prendre leur retraite avant l’âge légal de la retraite, à condition de remplir les critères d’éligibilité.

Seulement, il arrive souvent que vos trimestres d’apprentissage ne figurent pas sur votre relevé de carrière. Dans ce cas, vous pouvez demander un rachat de trimestres, et verser le montant indiqué par la Caisse de retraite.

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Recul de l’âge du départ anticipé

La réforme des retraites entrera en vigueur le 1er septembre prochain : l’âge légal de départ à la retraite ainsi que l’âge de départ anticipé reculeront. Ainsi, 4 bornes d'âge seront mises en place, une nouvelle mesure qui concernera les générations nées à partir de 1970. 

Né(e) après le 1er septembre 1961, voici les différents cas de figure :

Vous avez commencé à travailler avant :Votre départ à la retraite est possible à partir de :Conditions
16 ans 58 ans Avoir cotisé 5 trimestres* avant la fin de l'année civile de votre 16ᵉ anniversaire
18 ans 60 ans Avoir cotisé 5 trimestres* avant la fin de l'année civile de votre 18ᵉ anniversaire

20 ans

62 ans Avoir cotisé 5 trimestres* avant la fin de l'année civile de votre 20ᵉ anniversaire
21 ans 63 ans  Avoir cotisé 5 trimestres* avant la fin de l'année civile de votre 21ᵉ anniversaire

 * Ou 4 si vous êtes né(e) entre le 1er octobre et le 31 décembre

 Attention ! Il faudra également avoir enregistré le nombre de trimestres requis.

Demander un rachat de trimestres d’apprentissage

Si les trimestres d’apprentissage ne figurent pas sur votre relevé de carrière en raison du non-paiement des charges sociales par votre ancien employeur, vous pouvez demander un rachat.

Comment procéder ?

  • vous devez télécharger et remplir le formulaire disponible sur votre espace personnel de l’Assurance retraite ;
  • vous pouvez effectuer une simulation du coût du rachat sur cette page ;
  • la caisse de retraite peut accepter ou refuser votre demande, et en cas de réponse positive, vous recevrez le montant à payer dans un délai de deux mois suivant votre demande.

Cependant, cela n’est possible que si vous ne touchez pas encore une pension de retraite du régime général et si vous êtes âgé entre 20 ans et 66 ans.

 

 

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Le PER Préfon est actuellement le seul plan d’épargne retraite (PER) à point en France, dont la valeur du point ne diminue jamais. Ce dispositif est réservé aux agents de la fonction publique, des collectivités locales, des établissements administratifs ainsi qu’aux conjoints et veufs/veuves des fonctionnaires, et il draine environ 15 % de l’épargne retraite totale en France.

Au début de cette année, la valeur du point Préfon a augmenté de +1,59 %, tandis que les droits de transfert et de sortie en capital ont progressé de +2,10 %.

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La valeur d’achat du point Préfon fixée à 1,8706 euros

Avec la revalorisation du point Préfon, la valeur d’achat est fixée à 1,8706 euro, tandis que celle de service est de 0,0960 euro.

Il convient néanmoins de préciser que l’augmentation de +1,59 % n’arrive pas à couvrir la hausse des prix de l’année dernière (+5,9 %). Mais selon la réglementation en vigueur, la revalorisation du point Préfon est limitée à +2,01 %.

D’autre part, la valeur de rachat et de transfert a progressé de +2,10 %. Comparée à la moyenne des taux de rendements des fonds en euros annoncée au début de cette année (de +1,6 % à +2 %), celle-ci s’avère plus intéressante.

Il faut également noter que le régime Préfon-retraite offre des rentes plus élevées avec un rendement servi par avance (pour l’exercice 2022, le taux technique s’établit à 0,27 %). Ceci explique la faible revalorisation du point par rapport à l’inflation.

Quant au taux de couverture règlementaire, ceci est estimé à 137 %.

Comment calculer le montant de la pension de retraite complémentaire ?

Le montant de la pension de retraite complémentaire est obtenu en multipliant le nombre de points achetés par l’épargnant par la valeur du point de service.

Concrètement, chaque versement donne droit à un nombre de points pouvant varier en fonction de l’âge de l’épargnant. Ainsi, s’il commence à verser des cotisations dès son jeune âge, il pourra cumuler plus de points et toucher une retraite complémentaire plus élevée. Il est cependant obligatoire d’effectuer des versements réguliers et il est possible d’augmenter ou de réduire, ou encore de suspendre les cotisations. De ce fait, aucune pénalité ni perte de points n’est prévue.